Parlons demain avec Maxime Mistretta

Ce nouvel épisode donne la parole à Maxime, docteur en Microbiologie qui a soutenu sa thèse en 2021. Au cours de celle-ci, Maxime a mis au point un outil pour tester l’efficacité de molécules dans le traitement de la tuberculose et pour améliorer la prise en charge des patients.

Il revient sur l’aventure entrepreneuriale dans laquelle il s’est lancé.

A l’issue de sa thèse, Maxime a souhaité mettre son savoir et les compétences acquises au cours de sa recherche au service de la société. Aujourd’hui, il est le co-fondateur et directeur technique de Spore.Bio, une start-up au sein de laquelle il a développé une technologie qui permet de détecter plus rapidement la présence de bactéries dans les aliments ou produits pharmaceutiques et cosmétiques.
Grâce à cette avancée, les industriels vont pouvoir s’assurer de la sécurité sanitaire de leurs produits en seulement quelques secondes là où les méthodes actuelles nécessitent plusieurs jours. Une révolution qui permets aux industriels de contrôler le risque microbiologique sur les chaînes de production et d’assurer la sécurité des consommateurs.

À lire aussi

Appel à projets de l’Université de Montréal

Appel à projets de l’Université de Montréal

L’Université de Montréal lance un appel à projets destiné à renforcer les collaborations de recherche entre ses chercheurs et chercheuses, et des établissements de l’Union européenne, dont l’Université Paris Cité en tant que partenaire privilégié. © UdeM Les objectifs...

lire plus
25 avril – Journée mondiale de lutte contre le paludisme

25 avril – Journée mondiale de lutte contre le paludisme

Une date qui nous rappelle combien les enjeux de santé ne connaissent pas de frontières.
À l’Université Paris Cité, nos équipes de recherche, notamment au sein de l’UMR MERIT (Université Paris Cité, IRD, Inserm), œuvrent chaque jour pour comprendre la physiopathologie du paludisme
, développer des stratégies de prévention et de traitement innovantes
, soutenir l’élaboration de vaccins ciblés
.

lire plus

La thèse de Martin portait sur la photoréduction du CO2. Grâce à sa recherche, il est désormais possible de transformer ce gaz à effet de serre responsable du réchauffement climatique grâce à de la lumière. Martin met aujourd’hui son savoir académique en pratique au sein d’une start-up qui s’appelle Dioxycle. 

Grâce à cette technologie, le CO2 peut-être être capté immédiatement après son émission et transformé en une molécule utile et transformé en matière première pour produire des plastiques ou des carburants sans pétrole. Une avancée majeure dans la lutte contre le réchauffement climatique !